News cru, bio et jeûne

Les news de la semaine, en vidéo, audio et lecture :

- Les bienfaits du cru
Samira prêche pour le cru (vidéo ici)

 - Le jeûne, une nouvelle thérapie
Reportage diffusé jeudi 29 mars à 22h35 sur Arte (extraits ici)
Enfin des travaux scientifiques pour démontrer à nos incrédules concitoyens cartésiens ;-)

- Le jeûne, une alternative thérapeutique ?
Emission la Tête au carré du 27 mars à réécouter sur le site de France Inter ici

- L'EFSA reconnaît la meilleure sécurité des aliments bio (enfin)
« Le rapport de l'EFSA (Autorité Européenne de Sécurité des Aliments) stipule que les contaminations de fruits et légumes bio sont extrêmement rares : seuls 2% des échantillons bios analysés par la France contenaient des traces de pesticides, sans que jamais les Limites Maximales en Résidus (LMR) ne soient dépassées [...]
En comparaison, ce sont 37,74% des fruits et légumes issus de l'agriculture intensive analysés en 2009 qui contenaient des résidus de pesticides, dont plus de 3.1% à des quantités supérieurs aux LMR (3.8% en 2008). En moyenne, les consommateurs ont donc plus de 18 fois plus de risque de trouver un résidu de pesticide dans un aliment issu de l'agriculture intensive que dans un aliment bio ! » Suite de l'article ici

- Flore intestinale - Le cerveau sous influence
Le Monde Science & Techno du 24 mars publie une double page sur le sujet.
Le métagénome intestinal humain a été "la vedette" du congrès international MetaHIT, qui a réuni 600 chercheurs à Paris du 19 au 21 mars. Y sont recensés les fonctions digestives de ces 10000 milliards de bactéries, mais également son rôle dans la constitution du système immunitaire, dans l'apparition des allergies et la mise en évidence de l'axe "intestin-cerveau". Même si les finalités ne seront pas les mêmes pour les médecins et les naturopathes.  Ces nombreuses études pourront crédibiliser le discours de ces naturopathes !
Le projet My.microbes met un espace à disposition de toutes les personnes qui souhaitent échanger sur une pathologie digestive, "en contrepartie de leur participation à un projet de séquençage de l'ADN de leur flore bactérienne intestinale".